Au loin, par dessus la cime des arbres, vous apercevez les remparts de la fière cité de Middenheim. Les habitants d'Utergard soupir de soulagement. Ils sont épuisés physiquement et moralement par les événement de ses dernières semaines. Alors que votre convoi s'approche de la ville, des croassement de corbeau sont font entendre de plus en plus fort. Ils festoient sur le cadavre des écorcheurs resté suspendu aux murailles malmené par le siège. (les écorcheurs sont des créatures spécialement fabriquées par les Malédictor de Tzeentch pour escalader les muraille d'une ville fortifiée. A la place de leurs mains, ils ont des crochets qui leurs permettent de grimper plus facilement et leurs colonne vertébrale se prolonge avec une énorme chaine métallique.)
Le télésiège, qui reliait le haut de la ville au poste de péage au pied de la montagne, est maintenant détruit. Seul les ponts, en bien mauvaises état permettent d'accéder à Middenheim. Il n'y a pas de péage pour les réfugiés mais les gardes s'occupe tout de même de vous recenser avant qu'une pretresse de Shallya vous accompagne vers le quartier surpeuplé de L'Ostwald près de la porte sud. Ce quartier, bien que d'apparence propre et respectable ne vous fait d'illusions. C'est une zone populaire qui abrite maintenant tout les réfugiés du Middenland et c'est un nid à maldie qui empeste la corruption et la misère.
Granny Moesher et le capitaine Shiller parle un peu en retrait avec la prêtresse. La discussion ne semble pas joyeuse et les réponse de la prêtresse ne semble pas plaire à ses deux pilier de la communauté d'Untergard. Vous vous approchez.
-"C'est une catastrophe, même nos cochons était mieux logé à Untergard" dit Granny "Permettez au enfant d'avoir un meilleur endroit." ajoute-elle
-"Et loin de toutes la violence de cette endroit, je sais reconnaitre les endroits qui ont un problème" ajoute le Capitaine.
-"C'est pour cela que je vous invites à logé chez des proches ou bien chez des connaissances. Pour la sécurité Capitaine, j'en parlerais au commandant Schultzmann. Je reviendrais quand vous serez installé pour apporter ce que je pourrais.